On a l'habitude d'entendre des chansons comme La Vi Ti Neg (Muzion) ou encore Libérez-nous des libéraux (Loco Locass) en pleine contestation. Depuis quelques temps, le rap connaît une importante ascension. Il est maintenant partout : dans les festivals, dans les galas ou dans les oreilles des québécois. Il est donc normal qu'il apparaisse lors de manifestations.

Nous l'avons vu et entendu dans les récentes grèves pour le climat. En avril dernier, des centaines d'étudiants reprennaient en coeur La famille d'Alaclair Ensemble. Les manifestants avaient alors adapté le refrain de la chanson pour qu'il devienne « tout ce qui compte, c'est la planète ».

Plus tôt, c'est FouKi qui avait inspiré des slogans avec sa chanson Gayé. L'hymne du rappeur s'est effectivement transformé en affiche le temps d'une manifestation : « Le climat s’en vient gayé comme FouKi », pouvait-on lire sur la pancarte d'un étudiant.

Puis, alors que le Québec connaissait la plus grande manifestation de son histoire vendredi dernier, le rap local s'est réinvité dans le rang des manifestants. Les participants ont usé d'une immagination fertile pour la création de leurs slogans.

Les médias numériques ont d'ailleurs relayé le tout via des articles. C'est le cas du Sac de Chips qui a fait une sélection des 40 pancartes les plus drôles de la marche pour le climat à Montréal. Nos collègues ont malheureusement oublié les rappeurs qui ont également inspiré les manifestants, comme Tizzo ou Sir Pathétik.

Les voici.

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ça spasse au centre-ville 🤣🤣🤣

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